Avec ce projet de loi, Québec vise à optimiser les places en garderies subventionnées et cesser de financer les «places fantômes», soit celles qui demeurent partiellement inoccupées quelques jours par semaine.
Dès le dépôt de son projet de loi en novembre, l’intention gouvernementale de mettre à l’amende les parents présumés fautifs avait soulevé l’indignation.
» Plutôt que de punir les jeunes familles, en leur imposant des pénalités ou en augmentant leur facture de frais de garde, il serait beaucoup plus constructif de consolider le réseau public de services de garde éducatifs, en priorisant le développement de nouvelles places et en travaillant à le rendre plus flexible de façon à mieux répondre aux besoins réels des parents », peut-on lire dans un communiqué de la Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées du Québec (FAFMRQ).