Les refuges pour femmes débordent à Québec et un peu partout en province. Au YWCA de la capitale, des femmes itinérantes ont été refusées à plus de 1000 reprises depuis le début de l’année.
« Oui, il manque de lits, mais la solution ce n’est pas juste d’en ajouter », prévient Stéphanie Lampron, directrice de l’hébergement au YWCA à Québec.
« Ça prend des services. Les femmes qui viennent ici ou dans les autres organismes, ce n’est pas juste pour dormir. Si elles sont ici, c’est qu’elles ont des problèmes. »