Souvent brimées par leur conjoint les parrainant et menacées de déportation, les immigrantes victimes de violence conjugale sont mal protégées par l’État québécois, déplore la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF). Le manque d’interprètes pénalise les immigrantes qui ne parlent ni français ni anglais.