Des intervenantes auprès de victimes d’agressions sexuelles se réjouissent des accusations portées contre Michel Venne, les premières au criminel visant une personnalité publique dénoncée dans le mouvement #moiaussi.
« C’est un signal clair [du système de justice] qu’on veut répondre aux besoins des victimes », lance la directrice générale de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, Manon Monastesse.