Quand le milieu de travail se mêle de la violence conjugale

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En juillet dernier, la Nouvelle-Zélande a créé un congé spécifique pour les victimes de violence conjugale: 10 jours payés pour leur permettre d’échapper à leur foyer sans craindre de perdre leur emploi. Au Québec comme ailleurs, les législateurs·trices commencent à reconnaître que le milieu de travail doit favoriser l’émancipation des survivant·e·s. Tour d’horizon des politiques en place ici et là-bas, certaines plus généreuses que d’autres.

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« Se déclarer comme victime de violence conjugale, c’est déjà extrêmement difficile, alors je n’imagine pas que des femmes puissent faussement invoquer ce motif-là. » — Manon Monastesse, directrice générale de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, au Québec