Le sous-financement des maisons d’hébergement pour femmes violentées contribue à marginaliser davantage les femmes immigrantes et autochtones.
C’est la conclusion d’une étude de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) , publiée aujourd’hui.
Ces femmes sont de plus en plus présentes dans les maisons, mais les services offerts sont inadéquats.
Pour répondre à leurs besoins, il faudrait un investissement dédié de 14,1 millions de dollars, dont 1,6 million pour les femmes autochtones.