Parmi les 87 000 victimes de 2017, 57 % (50 000) l’ont été « par leurs conjoints ou par des membres de leurs familles », selon l’ONUDC, soit une « légère augmentation » par rapport à 2012.
Plus d’un tiers (30 000 femmes) ont été tuées par un ex-conjoint ou un conjoint actuel, « quelqu’un en qui elles auraient normalement dû avoir confiance ».