La Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) déplore que la justice ne tienne pas assez compte de la violence conjugale pour déterminer les modalités de garde d’enfants.
Les autorités appliquent le principe voulant que ce n’est pas parce qu’un homme a été un mauvais conjoint qu’il sera un mauvais père, ce que regrette la directrice générale de la FMHF, Manon Monastesse.