Le meurtre de Kim Racine démontre malheureusement encore une fois que le cycle de la violence conjugale est difficile à briser.
«Le conjoint violent va tenter de maintenir son contrôle, donc d’une façon il va s’excuser, il va s’amender, il va dire: « je ne recommencerai plus », « je vais aller en thérapie »», explique la directrice générale de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, Manon Monastesse.