La création d’un comité d’examen des décès liés à la violence conjugale n’est qu’un premier pas : dès 2018, la coroner en chef dirigera aussi un groupe chargé d’étudier les décès d’autochtones au Québec, a appris Le Devoir
« La beauté de la chose, c’est que la coroner en chef a le pouvoir d’émettre des recommandations de façon très large, qui peuvent toucher plusieurs secteurs », a ajouté Manon Monastesse, directrice générale de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes. Le comité doit se réunir une première fois en janvier.