Les immigrées et les autochtones sont de plus en plus nombreuses dans les centres d’hébergement pour femmes victimes de violence au Québec, mais ces organismes manquent cruellement de ressources pour intervenir auprès de ces clientèles particulièrement vulnérables, selon une étude de l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) qui doit paraître aujourd’hui.