Il nous rappelle que si les masculinistes tentent de présenter les hommes comme collectivement « en détresse », c’est pour faire oublier à quel point les femmes (et enfants) le sont, elles, du fait d’être démesurément agressées en tant que telles, par autant d’hommes soucieux de préserver sur elles un pouvoir collectif et individuel identifié à la virilité et qui leur tient lieu d’identité.
26 ans après Polytechnique… Le massacre sexiste continue… ASSEZ, c’est ASSEZ!