Excédée d’avoir le sentiment de devoir encore et toujours prêcher dans le désert, la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes avait joint sa voix aux trois partis d’opposition pour lancer un cri du cœur au gouvernement en dénonçant son apparente indifférence, qui se traduit par une incapacité toujours plus préoccupante de répondre aux besoins croissants des femmes violentées.