Depuis le début de la pandémie, les maisons d’hébergement pour femmes font face à une augmentation fulgurante des demandes pour des services externes. En cette Journée internationale des droits des femmes, elles lancent « un signal d’alarme » et revendiquent l’aide du gouvernement pour « consolider le réseau » et aider les femmes dont les besoins sont de plus en plus complexes.
« Le réseau est saturé, notre taux d’occupation est de 97 % », affirme d’emblée Manon Monastesse, directrice générale de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, qui tiendra lundi une conférence de presse avec les représentantes des partis d’opposition à Québec pour interpeller le gouvernement sur ces enjeux.